Kingdows of Middle-Earth
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La sentence [Cirwyn]
 :: The Middle-Earth :: Eriador :: Bree

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Ciryaher

origine : en Terre du Milieu... j'ai vu le jour sur les terre elfiques des Havres Gris mais je m'y sens pas chez moi.
emploi : rôdeur / pirate / mercenaire
missives envoyées : 236
en Terre du Milieu depuis : 02/01/2015
Ciryaher

Mar 24 Jan - 22:29
La sentence
Cirwyn

Je sens mes épaules prendre un sacré coup quand ma nouvelle piste disparait dans les brumes de ce marécage que nous traversons avec Aulendil. Ce nouvel échec… il me sape le moral ! Pourquoi Mewyn a disparu ? Cette question est une ritournelle depuis cette fameuse nuit où ma compagne a pris ses affaires et m’abandonnait sans donner aucune raison. Mon cœur se serrait en y repensant. La mort régnait en moi depuis sa disparition. Pourquoi elle avait fait ça ? Son geste… je ne comprenais pas pourquoi elle avait choisi de me laisser seul maintenant. Son message était gravé dans ma mémoire mais il me rendait furieux ! Je le revoyais chaque fois que je fermais les yeux. Comment je pourrais savoir ce que je ressens alors que sa présence me manque et que sa fuite m’énerve ? Je me sentais perdu depuis cette nuit… poussant un soupir, je laisse ma monture nous mener en sécurité pour la nuit. Je deviens un fantôme depuis que Mewyn est plus dans ma vie. Cette voleuse avait radicalement changé mon existence en me volant mon bien le plus précieux… me poussant alors à sa poursuite. Je caresse du bout des doigts mon pendentif en pensant à elle. Pourquoi lui avais-je pas donné ce bijou ? Il y a pas un engagement sentimental entre nous ? Nos baisers avaient aucune signification ?

3 mois que je suis sur les routes, cherchant un moyen de retrouver sa trace… je lui dirais quoi quand on se retrouvera ? Mon long voyage avait permis d’apprendre de nouvelles choses sur Mewyn. Je ne connaissais pas encore toutes les pièces du puzzle mais maintenant je comprendrais pourquoi elle me parlait d’Anarion pendant son cauchemar. Comment avais-je pas fais le lien entre elle & la lignée d’Anarion ? Plusieurs fois, elle avait évoqué ses caractéristiques particulières… pourquoi avais-je pas compris que Mewyn était une dunedain ? Il me fallait quoi ? Un message envoyé par Gandalf ? Cela serait plus percutant ? Probablement pas… je ne sais pas dans quelle direction nous allons mais il est hors de question que je stoppe tout. Cette femme est devenue importante pour moi : j’en suis tombé amoureux. Il me faudra combien de temps pour retrouver sa trace ? Combien de régions vais-je encore traverser ? Aulendil nous mène vers une ville. Je serai pas contre une bonne nuit de repos… que je n’aurais pas parce que mon cauchemar reviendra me hanter quand je fermerai les yeux. Je revis toutes les nuits sa disparition. Mewyn part en courant pendant que je la poursuis en l’appelant désespérément. Il y a pas une nuit où je la rattrape. Elle finit toujours pas disparaitre en me laissant seul.

Quand mon cheval se stoppe devant une taverne, je me laisse presque tomber de la scelle puis traine les pieds dans la salle. Je m’assois pour prendre mon repas puis réserve une chambre. J’y prends un bain chaud qui délasse mes muscles. Je resterai bien dans cette grande bassine mais ma quête est une obsession. Je sors pour parcourir les rues tout en ronchonnant. Cela me manque nos escapades nocturnes quand je râlais parce que nous finissions jamais nos repas dans les tavernes parce qu’elle était poursuivie par une bande de mercenaires ou parce qu’elle avait commis un vol. Continue-t-elle de voler ? Je marche dans les rues sans vraiment prêter attention aux gens mais une prostituée me donne la sensation de revoir Mewyn. Je lui prends le bras pour qu’elle se retourne vers moi mais son visage est grossier et sale. Jamais elle serait ainsi ! Je l’abandonne mais une autre attire mon attention. Racontant aux autres qu’elle avait été volée récemment, je sens mon cœur battre beaucoup plus vite à cette évocation. Je me rapproche en jouant au client intéressé. Quand nous sommes juste tous les deux dans la ruelle, elle me fait du charme mais je suis uniquement intéressée par son histoire. Faisant signe de la suivre, je prends une grande inspiration puis entre dans l’immeuble…



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Invité
Mar 24 Jan - 23:11
La sentence
Cirwyn

 tenue avec cape noire + « Pourquoi une noble dame telle que vous, pleure en regardant l'horizon ? » Tu tournes la tête vers l'homme qui s'approche, il te sourit avec bienveillance et incline la tête. Tu t'incline à ton tour mais le sourire n'arrive pas à venir. Tu reposes tes mains sur le murêt devant toi puis reposes tes yeux sur le levé de soleil. Tu as le regard triste et ça, l'homme dans ton dos l'a bien comprit. Il finit par venir prendre place, debout à coté de toi et regarde devant lui, silencieux, tout comme toi. Tu passes cependant une main sous tes yeux, retirant les quelques larmes qui perlent encore sur tes joues. « pourquoi ne pas le rejoindre, alors que votre coeur semble le réclamer, noble dame ? » Ces elfes... Ils ont toujours des façons de parler qui rend les gens plus nobles qu'ils ne le sont vraiment, ou plus idiots aussi. pourtant, cet elfe a raison, et tu apportes une main au niveau de ce coeur qui bat douloureusement, qui ne bat encore uniquement pour que tu rejoindre l'homme pour lequel il devrait battre comme un fou. Ca fait déjà des mois que tu es partie, pour sa sécurité, pour sa survie, mais tu te meurs un peu plus d'être loin de lui. Tu passes une main derière ton oreille pour replacer une méche de cheveux et relever ta capuche blanche. Cette tenue est sublime, offerte par cet elfe charmant et acceuillant. C'est lui qui t'as trouver dans la forêt, il y a de cela une semaine, ou deux, pour te prodiguer des soins. Selon lui, tu etais mourante, et il se devait de t'aider. Mais tu ne comprends pas pourquoi. Ce que tu ne sais pas, c'est que ton médaillon, que tu ne quitte jamais, a été la clée de leur bienveillance. Foncombe est un endroit magnifique, ou les mercenaires ne peuvent pas te trouver mais tu ne peux attirer sur eux, les malheures qui te poursuivent. « je ne vous serais jamais assez reconnaissante, pour tout ce que vous avez fait pour moi. je reviendrais vous voir. » Il sourit tendrement, malgré ses trais sévère, c'est un homme doux. « Courrez, dame Mewyn. Comme si votre vie en dépendait. » Tu t'incline, souriant, alors que tu finis par partir, quittant ces lieux pour retrouver ton cheval. Après un dernier regard, un dernier sourire, et quelques provisions en plus, tu quittes les terres elfiques.

Cela fait plusieurs jours que vous gallopez, Petit Pain et toi, à la recherche de Ciryaher et c'est bien la première fois que tu trouve un homme aussi facile à pister. Peut-etre devrais-tu lui donner des cours ? Cependant, tu ne sais pas trop comment tu feras, ce que tu lui diras, une fois devant lui. Tu as besoin de repos, Petit Pain aussi, alors tu finis par entrer dans la ville, descendant de ton cheval. tu relèves bien ta capuche afin de cacher au plus ton visage et la cape noir sur tes épaules, offerte par l'elfe une fois encore, cache le blanc encore immaculée de ta robe. Tu espère que celle ci ne finira pas comme l'ancienne, parce que même si tu as tué tes assaillants, tu as tout de même faillit y rester et perdu une belle tenue. Ton cheval bien au chaud, tu lui caresses le poil en lui murmurant quelques mots. C'est idiot, tu lui promet simplement qu'il aura le droit a du pain s'il est sage. Il se fait encore tôt, et le ciel est encore clair. Les catins commencent déjà leur commerce et toi, cleptomane maladif, tu fauches au passage le résultat de son après midi de labeur. Un bon pactol d'ailleurs que tu caches bien. Il ne te reste plus que ta propre bourse, presque vide mais il faut dire qu'une seconde dague se repose contre ta cuisse. Une de chaque coté, pas de jalouses.

Le temps passe, et tu finis sur les hauteurs en train de manger ce pain elfique. Il parait qu'une bouchée satisfait l'estomac d'un elfe.. Il t'en faut un peu plus mais c'est uniquement par gourmandise. Soudainement, dans les rues tu reconnais quelqu'un. Ton coeur s'affolle, quand tu vois Ciryaher sortir de l'auberge. Alors finalement, ta piste était bonne. Il est pas doué pour se cacher, mais peut-etre ne le voulait-il pas. Tu le regarde faire avant de voir rouge. Pourquoi, ce stupide semi-elfe papote avec une prostituée ? Et pourquoi, il vient d'entrer dans l'immeuble ? Non. Impossible.. Ton coeur se brise, et pourtant tu veux le voir, le toucher, l'embrasser. Tu retiens quelques larmes de colère avant de quitter les hauteurs pour revenir sur la terre ferme et aller directement dans l'immeuble. Tu regarde partout, alors qu'une demoiselle fort peu vêtue, approche. Tu l'ignore totalement, ajustant bien la capuche pour finalement suivre les traces de ta proie. Pas difficile de suivre sa voix. Non mais quelle idée de suivre les conseils d'un elfe ? En plus célibataire ! Tu soupires, alors que tu vérifies que Ombre et Lumière soit bien sur tes cuisses. Si Ciryaher prend du plaisir entre les jambes nues d'une femme, il risque de faire la connaissance de ta nouvelle acquisition.

Vous n'êtes pas en couple. Tu as disparu depuis trois mois.. Mais c'est pas une raison !

Ciryaher

origine : en Terre du Milieu... j'ai vu le jour sur les terre elfiques des Havres Gris mais je m'y sens pas chez moi.
emploi : rôdeur / pirate / mercenaire
missives envoyées : 236
en Terre du Milieu depuis : 02/01/2015
Ciryaher

Mer 25 Jan - 17:41
La sentence
Cirwyn

Cette disparition est douloureuse... Pourquoi mon cœur souffre autant de son absence ? Je souhaiterai tellement être indifférent au sort de Mewyn mais cela est impossible. Cette femme règne sur mon cœur depuis ce premier regard. Elle est devenue mon obsession. Il fallait que je la retrouve... Ne pas être resté au camp cette fameuse nuit avait été une grosse erreur ! Comment avait-elle pu m'abandonner ainsi ? Je lui avais certes dis plusieurs fois que je resterai avec elle alors pourquoi elle avait pris cette décision ? Je lui avais demandé de partir loin quand nous avons été attaqués mais pour lui permettre de vivre. Je ne voulais pas vivre loin de cette voleuse. Chaque journée depuis son départ je la consacre à mes recherches sur elle. Je veux savoir qui elle est... pourquoi elle est loin des siens. C'est devenu ma raison de vivre. Mewyn est le soleil de ma vie ! Je parcourrai toute la Terre du Milieu si jamais cela peut me permettre de retrouver sa trace parce que chaque jour passé loin d’elle est une pure torture.

Connaissant maintenant plus de choses sur son passé, je me demandais pourquoi elle fuyait encore. Elle ne souhaite pas reprendre son royaume ? Les histoires que les rôdeurs racontaient sur cette princesse disparue faisaient écho aux aveux de Mewyn. La princesse d’Arnor ? Comment cela serait possible ? Cette information m’assomme encore parce que je suis tombé amoureux d’une personne bien au-dessus de ma condition… et je ne pourrais jamais être pour elle. Sans m’en rendre compte je me plonge dans la même situation que mes parents. Mon père convoitait une femme inaccessible… et maintenant je cours après une femme qui ne sera jamais mienne. Finalement on marche dans les traces de ses parents ? Jamais je ne serai comme mon paternel ! Mewyn est pas une femme pour moi mais je lui ai fais une promesse : je la protègerai au prix de ma vie.

Je me baladais dans les rues en enfonçant mes mains dans les poches, cherchant des indices pour une possible piste concernant la princesse. Le désespoir envahissait petit à petit mon cœur parce que mon enquête ne menait nulle part ! Heureusement cette prostituée me donnait l’impression que Mewyn ne se trouvait pas trop loin. Je devais uniquement la suivre dans ce vieil immeuble ? Cela me dérange pas ! Lors de mes précédents périples, je fréquentais des établissements tout aussi insalubres. Je regardais autour de moi en rentrant, cherchant des informations que je pourrais utiliser contre elle si jamais la situation tournait au roussi. Montant un escalier, on croise plusieurs péripatéticiennes (souvenir du cours de latin lol) qui minaudent sur mon passage mais je les ignore superbement. Quand nous entrons dans une chambre au décor surchargé, je pousse un soupir désespéré. Pourquoi toutes leurs chambres se ressemblent-elles ?

La demoiselle se retourne et pose sa main sur mon torse, le caressant à travers mes vêtements. « alors tes informations ? » Claquant sa langue en signe de désapprobation, elle se met sur la pointe des pieds pour essayer de capturer mes lèvres mais je me recule. Il est hors de question que sa bouche touche la mienne. Je peux pas être avec Mewyn mais cela ne veut pas dire que je désire embrasser une autre femme. « oh allez, beau brun… elle est partie… pourquoi tu lui cours après ? » Je pose mes mains sur ses bras puis la repousse gentiment. Je peux être un goujat mais pas à ce point ! La miss s’offusque puis me crache dessus… super ! « tu es bien celui dont tout le monde parle… ce chevalier courant après son fantôme… mais elle est morte ! cesse tes recherches. » Retrouvant son courage, elle se rapproche de moi et passe ses bras autour de mon cou. Je ne veux pas croire que Mewyn ne soit plus de ce monde… comment pourrait-elle être morte ? Non ! « je suis là pour te consoler… » Elle pose sa bouche contre la mienne mais je ne réagis pas, toujours sous le coup de cette révélation. Mewyn était morte ? Une larme coule le long de ma joue…

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Invité
Mer 25 Jan - 18:07
La sentence
Cirwyn

 tenue avec cape noire + Il est entré la dedans, l'enfoiré ! Tu le suis, entrant à sa suite dans les lieux. Tu grimaces, c'est vraiment pourri ici, au fond, la forêt c'est mille fois mieux. Quoi que, toi qui n'aimes pas le confort, tu ne peux pas dire que tu as mal dormir dans tes appartements à foncombes. Tu lui as promis de revenir bientot, que vous vous reverrez au plus vite et que tu le remercieras comme il se doit pour ses soins et son hospitalité. Tu hausses un sourcil quand finalement une demoiselle approche en te proposant ses services, non mais hors de question qu'elle te touche. Personne ne te touche de toute façon, pas même Ciryaher puisque monsieur prend du bon temps avec une prostituée. Quand tu arrives en haut, ils sont déjà en pleine discution. « alors tes informations ? » Tu n'arrives pas encore à entendre parce qu'il faut que tu ne sois pas trop loin, suffisement pour voir et entendre. Tu approches un peu discretement. Mais ce n'est pas encore assez pour entendre. « oh allez, beau brun… elle est partie… pourquoi tu lui cours après ? » Tout ce que tu vois c'est qu'elle le caresse, qu'elle a ses mains sur lui et ça te donne envie de cogner. Tu n'es pas violente, sauf quand il faut se défendre mais là, tu lui cognerais bien la tête contre le sol à celle-là.  Tu finis par tendre un peu plus l'oreille et enfin, il semble que tu puisses entendre la conversation. « tu es bien celui dont tout le monde parle… ce chevalier courant après son fantôme… mais elle est morte ! cesse tes recherches. » Il te cherche ? Ton coeur se serre et tu souris. Il ne t'a pas oublier ? Il te cherche alors ? Tu aimerais tellement pouvoir lui dire que tu es là, te blotir dans ses bras et poser tes lèvres contre les siennes pour un baiser. « je suis là pour te consoler… » Et elle l'embrasse. Non mais qu'elle pute !

De là où tu te trouves tu peux entendre toute la conversation mais la voir egalement puisqu'on ne peut pas dire que les portes se ferment dans ce coin. Tu roules des yeux, comment peut-elle savoir si tu es morte ? Est-ce qu'elle est au courant de cette attaque ? Tu es venue ici il y a un moment, avant de prendre la route vers le sud, pour finalement finir près de foncombe. Un petit détour agréable tout de même. Mais l'attaque qui s'est faite juste avant n'avait pas été du hasard. Ils étaient plusieurs, enfin, suffisement pour te maintenir en allerte et fraper de toute part mais tu as tout de même réussir à les tuer. Lumière avait fait un bon partenaire pour Ombre et petit Pain avait encore une fois pris la fuite. A croire que ce cheval ne veut que les récompenses. tu as été blessée, gravement, et tu as perdu connaissance en perdant pas mal de sang. Quand tu t'es réveillé, tu n'étais plus dans cette forêt. Tu finis alors par ajuster ta cape et ta capuche, cachant ainsi ton visage et ne laissant même pas une mèche de cheveux visibles. Tu entres en poussant brutalement la porte et tu fonces directement sur eux. Tu vas te venger, ça lui apprendra de poser ses salles pates sur ton semi-elfe ! Tu grognes, attrapant Lumière pour mettre la lame sous sa gorge. Tu l'as maintient bien vers toi, avant de venir donner un coup de ton pied sur l'interieure de ses genoux afin qu'elle finit au sol, à genoux sous ta lame. Tu es sérieuse, et tu n'es plus à une mort près. Tu finis par pencher le minois vers elle alors que tu finis par reprendre. « que sais-tu de sa mort ? Qui ? Quand ? Ou ? Réponds, ou tu feras connaissance avec la voleuse dans l'autre monde ! » Tu le fais bien quand même, tu changes même un peu ta voix pour evité d'etre reconnus tout de suite. Tu veux savoir si elle sait quelques choses de cette attaque, et peut-etre que si elle est coopérante, tu lui laisseras la vie sauve.

Tu tournes l'attention sur lui sans pour autant montrer ton visage. tu appuis un peu plus sur la lame, ton nouveau joujou, pour montrer que tu ne plaisante pas. « ils m'ont dit... ils l'ont tué.. ils lui ont tendu un piège... elle a pas survecu... elle les a tous tuer, sauf un, juste blessé... il a dit qu'elle etait morte.. qu'il avait même une preuve... me tuez pas, je vous dis la vérité. » pleures-t-elle en suppliant pour sa vie. Alors il y a un type qui n'était pas mort ? Il a dit cela par peur de se faire tuer, et pour la récompense alors... les gens te pensent morte donc ? interessant. Pourtant, tu regardes d'un oeil l'homme a tes cotés, tu veux voir sa réaction.

Ciryaher

origine : en Terre du Milieu... j'ai vu le jour sur les terre elfiques des Havres Gris mais je m'y sens pas chez moi.
emploi : rôdeur / pirate / mercenaire
missives envoyées : 236
en Terre du Milieu depuis : 02/01/2015
Ciryaher

Mer 25 Jan - 19:13
La sentence
Cirwyn

Mewyn est morte… Cette prostituée me plantait un couteau dans le cœur ! Comment ma voleuse pouvait-elle avoir quitté ce monde ? Je ne pourrais même pas avoir un doux espoir de la retrouver dans l’autre monde parce que mon sang elfique me permettait d’envoyer mon âme attendre la Renaissance… je ne peux pas croire qu’elle ne soit plus vivante. Mon cœur se brise en imaginant toutes ses longues années que je devrais passer sans elle. Comment je pourrais continuer de vivre dans de telles conditions ? Je repousse même pas cette folle qui embrasse ma bouche comme si elle voulait en aspirer toute forme de vie. Sous le coup de cette information, je ne réalise pas encore que celle dont je suis amoureux est morte. Il y a juste un immense vide qui envahit mon corps. Je vais mourir ? Ce serait tellement une délivrance ! Comment je pourrais continuer sans elle ? Mon père ressentait la même chose pour ma mère ? Je ne connaissais pas l’amour avant Mewyn… et finalement je souffrais moins pendant toutes ses années. Maintenant ? je veux juste mourir ! C’est beaucoup trop douloureux !

Je ne comprends pas comment cela se passe… mais une personne nous interrompt et menace avec une dague la prostituée. Remarquant la lame, je retiens ma respiration en espérant que ce soit Mewyn. Cela voudrait dire que la pute avait menti ! Je voulais tellement que ma voleuse soit toujours vivante que je me sentais capable de croire n’importe quelle histoire sur elle ! Un petit sourire se dessine sur mes lèvres mais… « que sais-tu de sa mort ? Qui ? Quand ? Ou ? Réponds, ou tu feras connaissance avec la voleuse dans l'autre monde ! » mes espoirs fondent comme neige au soleil. Cette mystérieuse personne est pas Mewyn. Je baisse les yeux en essayant de comprendre pourquoi cette silhouette est au courant pour Mewyn. Est-ce un rôdeur ? Cela expliquerait la tenue ! Je recule de quelques pas en essayant de me raisonner parce que je dois savoir comment ma voleuse est morte. L’inconnue menace toujours ma source d’informations qui se met alors à pleurnicher tout en nous disant ce qu’elle sait. « ils m'ont dit... ils l'ont tué... ils lui ont tendu un piège... elle a pas survécu... elle les a tous tuer, sauf un, juste blessé... il a dit qu'elle était morte... qu'il avait même une preuve... me tuez pas, je vous dis la vérité. »

Reculant, je me heurte dans une petite commode et manque de basculer en arrière… alors les mercenaires ont fini par avoir raison d’elle ? Pourquoi elle est partie ? En restant avec elle, j’aurais pu… non ! Merde ! Ne supportant plus l’ambiance étouffante de cette chambre, je descends en courant les escaliers. Je vais suffoquer en restant une seconde de plus ici. Mewyn a eu une bonne influence en m’apprenant comment fuir dans certaines situations. Je me heurte contre les murs puis quitte précipitamment cet immeuble. Je me fiche bien du sort que cet inconnu réserve au substitut de femme qui se pendait à mon cou. Quand je suis dans la rue, je respire rapidement essayant de me remettre de mes émotions. Je m’appuie contre le mur puis prends le temps de retrouver mes esprits…

Un peu haut dans cette fameuse chambre, la prostituée pleure toujours en suppliant son agresseur mais subrepticement elle attrape une petite poutre pour frapper le genou de cet inconnu. Lorsque la poigne se desserre, elle part en courant pour sortir de la maison mais elle tombe directement dans mes bras. Je la regarde surprise puis lève les yeux vers la porte et la remonte dans la chambre. « il semblerait que votre proie vous échappe… » Je pousse la pute vers mon sauveur tout en parlant à cette chose « ils ont vu son corps ? c’est quoi cette preuve ? » Je lui aboie presque dessus mais pas grave… je veux savoir !


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Mer 25 Jan - 19:39
La sentence
Cirwyn

 tenue avec cape noire +  Alors comme ça, on dit que tu es morte. C'est pas un mal, si on te pense morte tu auras un peu plus de liberté et les mercenaires ne viendront plus à ta poursuite, pas en tout cas, le temps qu'on sache que tu es vivante alors tu vas devoir rester à couvert encore un peu. De toute façon tu n'es plus à ça près, et puis, tu n'as pas envie de quitter Ciryaher a nouveau. Etre loin de lui était bien trop difficile, bien trop douloureux et souvent tu t'es demandé ce qui te retenait en vie, si ce n'est lui. Alors evidement, quand tu le vois là, devant toi, totalement boulverser par ta sois disant mort, c'est difficile et tu n'as qu'une envie, poser tes lèvres contre les siennes. Quand il finit par fuir, une larme roule sur ta joue, tu aimerais tellement pouvoir le rassurer mais cette pute doit toujours penser que Mewyn est morte. Ainsi, elle pourra raconter ce qu'elle veut à ses clients. Tu soupires, mais finalement elle en profite pour attraper quelque chose et te frapper la jambe, te faisant lacher prise et permettant ainsi sa fugue. Tant pis, tu as eu quelques informations déjà bien interessante. Tu soupires a nouveau, passant une main sur ta joue pour retirer cette goute d'eau salée qui fait des siennes. tu ne dois pas pleurer. « il semblerait que votre proie vous échappe… » Il finit par pousser la prostituée vers toi et tu attrapes son poignet pour l'empêcher de partir pour le moment. La dague toujours en même, tu finis par venir la pointer sur elle avant qu'il ne reprenne. « ils ont vu son corps ? c’est quoi cette preuve ? » Ha tient oui, tu veux bien savoir qu'elle preuve il posséde le mercenaire pour affirmer que tu es morte, ça te fait presque rire mais tu gardes un visage cacher et fermer. « il... l'a vu... elle etait.. allongée sans vie, se vidant encore de son sang. » Ca devrait surement être juste avant que les elfes ne te retrouvent et ne te soigne. tu ne dis rien, et ne laisse rien paraitre parce que ça pourrait fausser ton identité. Tu finis par lâcher la jeune femme paniquée, pensant surement qu'elle va mourir mais tu ne feras rien. « vas-y... pars, avant que je ne change d'avis. » Finis-tu par grogner alors qu'elle ne se fait pas prier pour fuir à toute jambe.

Tu laisses cette femme partir, avant d'aller vers la porte. tu tournes tes yeux vers lui et tu reprends. « suivez moi. » De l'elfique. Il ne te reconnaitra pas, tu n'as jamais parler l'elfique et tu avais bien revendiquer le fait que tu n'en étais pas une. Tu sais qu'il te suivra ainsi, et il doit te suivre. Tu finis par quitter l'établissement, ignorant les plaintes des jeunes femmes, pour finalement te rendre vers l'écurie. Tu ne sais pas comment faire, comme lui dire que tu n'es pas morte. Tu vérifie qu'il te suit, et une fois dans l'écurie, à l'abris des regards, des oreilles, tu viens vers lui brusquement. On pourrait croire que tu veuilles le planter, le tuer, mais tout ce que tu fais, c'est poser tes lèvres sur les siennes. Le gout de ses lèvres t'avaient tellement manqué, tu fermes les yeux à ce doux contact, c'est salé à cause de ses larmes, mais tu t'en fiche, tu savoures les precieuses secondes ou il ne te repousse pas encore. Est-ce qu'il reconnaitra tes lèvres ? ce baiser ? tu ne sais pas, mais peut etre reconnaitra t-il Petit Pain, qui s'approche en hénissant.

Ciryaher

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missives envoyées : 236
en Terre du Milieu depuis : 02/01/2015
Ciryaher

Mer 25 Jan - 21:27
La sentence
Cirwyn

Quelle preuve ? Cette folle prétendait que le mercenaire avait en sa possession une preuve de la mort de Mewyn. Comment être certain que tout cela est pas un mensonge ? Je me dirige vers elle mais cette personne venue de nulle part attrape la pute qui semble effrayée dans ses mains. Il est hors de question que ma seule source d’informations m’échappe ? Je reste impassible pendant que notre victime pleure nous suppliant de la laisser tranquille. Cette crainte dans son regard… elle me laisse indifférent. Ce monde a plus aucune importance. Mewyn y respire plus alors peu-importe ce qui peut bien m’arriver ! Je veux seulement connaitre la preuve qui me permettra d’être certain qu’elle est plus en vie. Il y a seulement ça qui compte pour moi actuellement. Comment avais-je pu laisser ma protégée toute seule ? Quand elle a rendu son dernier souffle, je me trouvais pas avec elle. Seule… finalement comme toutes ses années d’errance dans la forêt. Je suis un monstre ! Je pourrais plus jamais me regarder en face maintenant. Certes, elle a choisi de nous séparer mais mes recherches auraient dû être plus assidues… peut-être que nos chemins se seraient croisés plus tôt…peut-être serait-elle en vie ?

« il... l'a vu... elle était... allongée sans vie, se vidant encore de son sang. » La scène se peint devant mes yeux… enfin une certaine version. Les larmes roulent sur mes joues alors que mon cœur se meurt doucement mais sûrement. « vas-y... pars, avant que je ne change d'avis. » QUOI ? Je sors de ma torpeur en entendant cette preuve de mansuétude mais cela me convient pas ! Il est pas question que cette femme parte sans nous mettre en contact avec le mercenaire. Evidemment je suis pas assez rapide pour retenir la prostituée alors je compte bien faire entendre ma façon de penser à cet inconnu. Je serre les poings en essayant de ne pas perdre mon sang froid. Les muscles de ma mâchoire se crispent. Comment il a pu faire une telle chose ? Notre meilleure chance de savoir où se trouvait le corps de Mewyn et quelle était cette fameuse preuve… « suivez moi. » Tiens... de l'elfique ?! Cet inconnu est un elfe ? Super ! Je m'en serai bien passé mais bon... je vais pas me faire prier ?! Je veux pas laisser cette opportunité me filer entre les doigts. Il va entendre parler de moi ! Je marche en gardant une certaine distance entre nous parce que je suis pas certain de contrôler mes pulsions meurtrières.

Lorsque nous sommes dans les écuries, je me retrouve plaqué contre un box avec les lèvres de cet inconnu sur les miennes. Mon premier réflexe est de me débattre mais rapidement je reconnais cette façon un peu maladroite de m’embrasser… MEWYN ! Cela peut pas être possible ! Elle est morte ?! Pourtant il y a une seule personne dans ce monde qui m’embrasse de cette façon. Je pose mes mains sur ses épaules puis la repousse un peu. Mes yeux fouillent ce visage encapuchonné mais ce dernier ainsi que mes émotions me brouillent la vue. Je lui retire dans un geste sec… mon cœur cesse de battre alors. C’est bien elle ?! Je me retourne et la plaque contre le box à son tour avant de l’embrasser avec désespoir. Je glisse une main dans ses cheveux alors que je savoure ce baiser mais… NON ! je peux pas faire une telle chose ! Elle est une princesse ! Je me recule brusquement avant de murmurer « je peux pas… » Je perds le contrôle en étant avec elle mais impossible de ne pas loin d’elle. Je lève les yeux vers Mewyn et parle un peu brutalement « pourquoi tu es partie ? je croyais que tu étais morte ! » Ce sont pas des retrouvailles chaleureuses… en dehors de ce baiser ! Ooooh comme je meurs d’envie de l’embrasser encore ! « pendant 3 mois… pourquoi tu m’as abandonné ? tu peux imaginer ce que j’ai vécu pendant ses 3 mois… » Je perds les pédales ?! « mais nooooon… tu as seulement pensé à toi ! » Je me tais en essayant de retenir les autres paroles qui se bousculent en moi. Je suis partagé entre le soulagement & la colère.

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Invité
Mer 25 Jan - 21:52
La sentence
Cirwyn

 tenue avec cape noire + Une fois dans l'écurie, alors que ton cheval commence a s'agiter pour approcher, tu plaques tes lèvres contre les siennes. Tu n'es vraiment pas doué pour cela, mais tu t'en moque présentement. Tu veux juste sentir ce doux contente sur tes lèvres, sentir qu'il est là, a tes cotés, être dans ses bras, ne plus avoir a réfléchir ou a avoir peur. Tu presses alors un peu plus tes lèvres contre les siennes, les yeux clos, savourant le gout salé de ses lippes qui t'avaient tellement manqué. Tu frisonnes a son contact, ton coeur s'affolle et de nouveau tu te sens vivre. Non, plus jamais tu ne veux etre loin de lui, plus jamais tu ne veux etre ailleurs que dans ses bras.Mais il te repousse un peu, attrapant les pans de ta capuche pour la baisser d'un geste sec. Ainsi, réléver sous ses yeux ton visage pale, tes yeux azurés, tes lèvres rosées et tes longs cheveux de jaie tombant en cascade sur tes épaules. Tu es là, devant lui, bel et bien vivante. Alors il inverse les rôles, te plaquant contre le box et posant ses lèvres a nouveau contre les tiennes. Dieu que tu reves de ce moment depuis des mois, tu fermes les yeux, sa main dans tes cheveux et au moment ou tu allais passer tes bras autour de son cou pour qu'il ne te quitte pas, il se recule. Mauvais timing de ta part. « je peux pas… » Il ne peut pas ? Tu comprends bien qu'il doit te détester, t'en vouloir d'être partie ainsi, mais peut-il au moins comprendre que tu ne voulais que sa sécurité ? Que tu l'as fait par amour !?

Il s'éloigne de toi, alors que tu restes contre le box avec la respiration haletante. Ce baiser etait bref mais intense, et quoi qu'il dise, tu sais qu'il est heureux de te voir. « pourquoi tu es partie ? je croyais que tu étais morte ! » Oui ça tu sais bien qu'il le croyait, tu étais avec lui. Mais tout le monde semble te croire morte,  ce qui est un bon point pour toi. Tu ne dis rien, mais tu remontes la capuche pour que personne ne te reconnaissent en passant, ce serait dommage de déjà être privé de ta sois disante mort. « pendant 3 mois… pourquoi tu m’as abandonné ? tu peux imaginer ce que j’ai vécu pendant ses 3 mois… » Ho si que tu le sais. Croit-il etre le seul à avoir pleurer ? A s'eetre mis a parler en pensant qu'il répondrait, mais finalement ne voir que le vide. Pense t-il etre le seul a s'imaginer les conversation idiote que vous auriez pu avoir selon les situations, ou les sermons qu'il pourrait faire a tes actions ? A imaginer ses bras autour de toi quand tu devais dormir un peu, a avoir le coeur douloureux sans cesse, à se sentir totalement vide et pas entier ? Est-ce qu'il pense être le seul a avoir rever de vous toutes les nuits, a espérer qu'il soit toujours vivant ? Non, tu etais dans le même cas que lui. « mais nooooon… tu as seulement pensé à toi ! » Ca te fait mal, dans un sens, parce que tu n'as fait que penser à lui en prenant cette décision. Tu ne voulais pas le voir mourir pour toi, le voir mettre sa vie en danger uniquement a cause de toi, qu'il ne soit pas en sécurité à cause de toi.

Tu le regarde et finalement c'est un sourire qui vient prendre place sur tes lippes. Certes, les larmes roulent sur tes joues et tu tentes de ne pas simplement sanglotter. Tu restes forte. « rien n'a changé.. tu râles toujours et tu m'engueules toujours. » Au fond, ça te rappelle simplement vos disputes habituelles, quand tu faisais des conneries et qu'il ne comprennait pas tes actes, qu'il ne pouvait pas profiter de son petit confort d'auberge. C'est un peu pareil, sauf que là, on parle de ta vie, mais à tes yeux il n'y a rien de bien passionnant la dedans. Tu approches, calmement, posant une main sur sa joue, ton pouce passant sous son oeil pour en sécher les larmes et puis, tu viens juste passer un bras autour de lui, pour l'amener contre toi et dans tes bras, pour le rassurer. « je suis là, on ne m'enterre pas aussi facilement. et, je n'ai pas l'intention de partir. je suis désolée. je ne voulais juste pas te mettre en danger. » Tu viens enfouir ton visage dans son cou, tu espère qu'il ne te repoussera pas. Ho pour le moment, tu ne lui expliques pas que tu etais bien proche de la mort cette fois.

Ciryaher

origine : en Terre du Milieu... j'ai vu le jour sur les terre elfiques des Havres Gris mais je m'y sens pas chez moi.
emploi : rôdeur / pirate / mercenaire
missives envoyées : 236
en Terre du Milieu depuis : 02/01/2015
Ciryaher

Mer 25 Jan - 23:24
La sentence
Cirwyn

MEWYN EST BELLE ET BIEN VIVANTE ?! Comment cela est-ce possible ? Les paroles de la prostituée sont fausses alors ? Ses lippes contre les miennes… je ne pouvais pas douter de ça ! Quand elle m’embrasse, elle est dans la retenue & cette maladresse me touche profondément. Comment pourrait-il en être autrement ? Je suis faible lorsque nous nous embrassons parce que je me laisse totalement allé sous ses baisers… pourtant je lui hurle dessus parce que ces longs mois sans elles ont été une vraie torture. Comment on peut être aussi dépendant d’une personne ? Je ne peux pas continuer sans elle ! Je me sens totalement perdu en cet instant… je suis furieux parce que j’avais imaginé des choses affreuses la concernant mais en même temps je suis heureux parce qu’elle est en vie ! Il est difficile de faire un choix… mais pour me protéger de mes propres émotions, je lui propose un de mes sermons. Mon comportement est pas un exemple… mais je ne contrôle pas mes sentiments. Levant les yeux vers son visage, je remarque son sourire et je fonds littéralement pour elle. « rien n'a changé... tu râles toujours et tu m'engueules toujours. » Je suis amusé par sa réaction et esquisse moi aussi un sourire. Cela me manquait nos petites boutades. Mewyn se rapproche puis caresse ma joue avant de chasser mes larmes. Comme j’aime le contact de sa peau sur la mienne…

Cette femme me rend totalement fou. Comment je pourrais être encore en colère contre elle ? Soupirant, je me laisse faire quand elle se serre contre moi. Cela me manquait tellement… combien de fois avais-je imaginé son corps contre le mien pour trouver le sommeil ? Je voulais uniquement entendre le son de sa voix. « je suis là, je ne m'enterre pas aussi facilement. et, je n'ai pas l'intention de partir. je suis désolée. je ne voulais juste pas te mettre en danger. » Me mettre en danger ? On se fout royalement de ma vie ! La sienne est un million de fois plus importante. Mewyn se blottit contre moi et je me maudis pour mes pensées impures. Je voudrais tellement faire des choses pas sages avec elle… Passant mes bras autour de ses épaules, je la serre contre moi pendant que je repose mon menton au-dessus de sa tête. Sa présence me rassure mais nous ne pouvons pas intime. Les choses sont désormais différentes entre nous ! Je la repousse une nouvelle fois, cela me coûte tellement de ne pas la garder contre moi. Je voudrais enfouir mes mains dans ses cheveux et l’embrasser au point d’en perdre la raison. Je suis raide dingue de cette voleuse ! Jamais je ne pensais que cela pouvait m’arriver !

Je mets de la distance entre nous en essayant de prendre une voix ferme mais mes yeux supplient Mewyn de venir se coller contre moi… « non… princesse… il ne faut pas… » Je voudrais lui faire comprendre que maintenant les choses sont différentes. « je suis au courant… » Je baisse les yeux parce que mes paroles me font mal. Je suis amoureux d’elle mais je dois renoncer aux sentiments que je ressens pour elle. Son destin est plus intéressant que le reste. « Mewyn… pourquoi… tu… vous êtes une princesse… » Je me mets à genoux pour lui présenter mes hommages. « je vous prie, ma dame, d’accepter mon aide… je suis votre humble serviteur… » Mon ton est solennel mais ce sera plus facile pour instaurer cette distance cérémoniale qu’il faut. Mewyn est une princesse alors il faut que je respecte son rang.


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Jeu 26 Jan - 17:51
La sentence
Cirwyn

 tenue avec cape noire + Il s’éloigne, tu ne comprends pas pourquoi, tu le regarde faire alors que tu pensais forcement qu’il en profiterait et qu’il passerait ses mains sur toi, qu’il t’embrasserait jusqu’à en perdre le souffle, et bien qu’il l’a fait au début, il te repousse et tu ne comprends pas vraiment pourquoi. « non… princesse… il ne faut pas… » Princesse ? Il faut pas ? De quoi parle t-il ? Tu ne comprends vraiment rien à son charabia et tu le regarde en haussant un sourcil, posant tes mains contre ta poitrine ne les croisant. « je suis au courant… » IL est au courant de quoi ? Non mais il faut vraiment que les gens arrête de t’appeler princesse pour n’importe quoi. Et puis, il est au courant de quoi ? De ta blessure ? De ton séjour chez les elfes ? « Mewyn… pourquoi… tu… vous êtes une princesse… » Tu manques de t’éttoufer en l’écoutant. Tu changes totalement d’expression parce que même si tu ne comprennais pas ses propos, là c’est totalement de la folie. Une princesse ? Il a bu dans l’auberge ?  « je vous prie, ma dame, d’accepter mon aide… je suis votre humble serviteur… » Tu ne comprends pas, pourquoi il s’incline devant toi ainsi ? Tu es mal à l’aise, tu ne comprends rien et tout ce que tu désir pour le moment c’est être dans ses bras. Mais au final, tu pensais qu’il t’aurait engueulé et passer un savon mais il te repousse totalement pour poser un genou au sol. Pourquoi ? et c’est quoi cette manière de t’appeler Princesse lui aussi ? Tu secoues la tête, regardant autour de toi en espérant y trouver une indication mais tu sais bien que ce n’est pas le cas.

Tu t’approche alors de lui, t’agenouillant à ton tour avec un sourire sur les lèvres pour le regarder tendrement. Tu es tellement heureuse de le voir, de voir qu’il va bien, qu’il est en bonne santé et pas blesser. « Sais-tu qu’il y a des champignons qui ne se mangent pas et qui donne des hallucinations » Tu lui souris tendrement et tu poses une main sur sa joue que tu caresses, le forçant a se lever avec toi. « s’il te plait… redresse toi… » Tu ne comprends vraiment pas pourquoi il se comporte ainsi avec toi, ni même de quoi il parle. Tu n’imaginais pas de telles retrouvailles, tu imaginais les cris et les moments ou vous vous prendrez la tête, les moments ou tu le laisserais t’embrasser jusqu’à en perdre le souffle, les moments ou tu serais obliger de tout lui expliquer et de lui dire ce que tu as fait durant ses trois mois, les moments ou tu devrais expliquer comment tu as survécu à cette embuscade. Non vraiment, tu imaginais tout mais pas cela. Tu finis par tourner le dos à Ciryaher, allant vers ton cheval parce qu’il ne cesse de hennir. Tu plonges tes mains dans le sac pour en sortir une friandise que tu donnes à Petit Pain puis tu en reviens au semi-elfe. « Il faut arrêter de me prendre une princesse. Ce n’est pas parce que je t’ai dis de te trouver une princesse a aider que j’en suis une ! » Évidement, tu reviens sur les mots que tu lui avais dit la toute première fois.

Tu reviens vers lui, te blottissant contre lui sans qu’il ne puisse dire quoi que ce soit. Tu poses ta tête contre son épaule, fermant les yeux en frissonnant. Tu te sens bien là, tu es juste bien, tu ne veux que rester là même si l’endroit et pas vraiment le meilleur. Mais pour une fois, tu veux lui faire plaisir et rester en ville, prendre une chambre à l’auberge pour qu’il puisse dormir correctement. Tu te doute bien que son sommeil devait être agité ces derniers temps. « Et si on allait manger ? À l’auberge. Je t’invite ! » Uniquement parce que tu as volé et que finalement c’est l’une des prostituées qui régale. Tu ne dis rien de plus, quittant ses bras rassurants pour t’enfoncer de nouveau dans les ruelles de la ville. Tu rejoins l’auberge. Tu es toujours cachée sous ta capuche et tu change un minimum ta voix pour qu’on te ne reconnaisse pas. « une chambre, et deux repas qu’on prendra dans la chambre. » Et a ses mots, tu rejoins la chambre qu’on vous a attribuer. Tu peux enfin retirer ta capuche, vous allez avoir une longue conversation, et vous serez mieux en tête a tête.



Ciryaher

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Ciryaher

Jeu 26 Jan - 21:07
La sentence
Cirwyn

Mewyn est une princesse au royaume important, par sa superficie mais aussi son influence. Comment je pourrais croire une seconde que mes sentiments seront acceptés ? Il est impossible qu’elle daigne renoncer à tout juste pour mes beaux yeux. Je me contenterai de la servir loyalement. Etre juste près d’elle, cela me suffira ! Je veux être certain qu’elle aille bien. Le reste ne compte pas vraiment… je lui serai totalement dévoué mais nous ne serons jamais intimes. Il serait mieux que nous revenons à une relation basique, ce sera moins douloureux pour moi… en faites je souffre déjà parce que je veux serrer dans mes bras Mewyn et couvrir chaque parcelle de sa peau de baisers enfiévrés ! Cela restera un rêve, un fantasme… mais cela enlèvera rien de mon engagement pour elle. Je sursaute quand elle se met aussi à genoux. Elle ne devrait pas ?! C’est une princesse ! Je regarde autour de nous paniqué ! Il ne faut pas que les gens sachent ce genre de choses. Une princesse ne se met pas à la hauteur de ses sujets ! « Sais-tu qu’il y a des champignons qui ne se mangent pas et qui ont halluciné » Quoi ? De quoi elle parle ? Elle pose sa main sur ma joue, mon cœur se serre parce que je voudrais embrasser sa paume. « s’il te plait… redresse toi… » Je me redresse mais parce qu’elle me l’ordonne et non pour lui faire plaisir. Elle est désormais ma princesse donc je ferai tout ce qu’elle veut…

Quand elle se dirige vers son cheval, je pose une main au niveau de mon cœur parce que ce dernier est douloureux. Pourquoi je suis tombé amoureux de cette femme ? Elle causera ma perte… mais je ne peux pas faire autrement que la suivre ! « Il faut arrêter de me prendre une princesse. Ce n’est pas parce que je t’ai dis de te trouver une princesse à aider que j’en suis une ! » Je la regarde comme si elle venait de me jeter un sceau d’eau froide. Pourquoi elle nie encore être une princesse ? Sa vie est en danger ? Je veux pas une princesse quelconque… je veux uniquement Mewyn ! Je voudrais répondre mais elle me prend au dépourvu en se collant contre moi, sa tête sur mon épaule. Quelle torture de ne pas pouvoir la serrer dans mes bras et embrasser ses cheveux ! Pourquoi elle me fait ça ? Combien de temps passe avant qu’elle recule ? Aucune idée mais probablement une éternité ! Je meurs lentement pendant ce laps de temps parce que je lutte contre mes envies et mes obligations. Je peux pas toucher ma princesse, ce serait contraire au code de chevalerie !

« Et si on allait manger ? À l’auberge. Je t’invite ! » On va encore en partir précipitamment ? Je hausse les épaules puis suis Mewyn dans les rues pour nous rendre à cette petite auberge dans laquelle j’avais déjà pris ma chambre. Nous sommes accueillis par le même homme qui me lance un regard lubrique. Ma main se pose sur une de mes dagues parce que son comportement est insultant ! Je me retiens parce que nous devons pas attirer l’attention des autres. On pense Mewyn morte… « une chambre, et deux repas qu’on prendra dans la chambre. » Je mangerai en sa compagnie puis je rejoindrai ma chambre ou je dormirai devant sa porte. Il est hors de question que je dorme dans la même chambre qu’elle ! On nous indique le chemin vers sa chambre. On y rentre… la chaleur me fait un bien fou ! Je retire mon manteau que je pose sur le dossier d’une chaise au moment où une femme nous apporte notre repas. Quand elle disparait, je lève le bras pour stopper les mouvements de Mewyn. « je vais goûter en premier… cela pourrait être empoisonné, princesse. Il ne faut plus mettre votre vie en danger comme avant. » Je me penche pour prendre une première cuillère puis annonce « vous pouvez vous installer pour manger… »

Mon attitude est froide et distante parce que jamais plus je serai familier avec elle. Je suis désormais son escorte ! « quand vous aurez fini votre repas, je demanderai que l’on fasse couler un bain pour vous… ensuite vous irez vous coucher pendant que je monterai la garde. » Je lui annonce le déroulement de la soirée ainsi il y aura pas de surprise. Je prends place à table avant d’attendre Mewyn. « vous préférez que je mange ailleurs, princesse ? »

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Invité
Jeu 26 Jan - 21:29
La sentence
Cirwyn

 tenue avec cape noire + Une fois dans la chambre, tu es heureuse de trouver un peu de chaleur. Même si tu n'es pas une frileuse et que tu viens tout de même du royaume ou la neige tombe plus souvent que le soleil ne chauffe, tu apprécies un petit peu de chaleur et cette ambiance chaude et plaisante. Tu espère sincérement qu'il arrêtera de dire des conneries et qu'il se comportera normalement avec toi, comme lorsque vous vous etes rencontré. Tu ne comprends même pas pourquoi il se fait tout un film, est-ce uniquement pour se venger d'etre partie ? Est-ce un moyen de garder ses distances pour te faire payer ta fuite ? tu as un peu de mal à le cautionner, parce que tu ne veux que ses lèvres contre les tiennes et ses bras autour de toi. Mais un peu plus tôt, il n'a même pas pris le temps de te presser contre lui, de passer ses bras autour de ton corps. tu veux juste ton semi-elfe, cet idiot impatient et adepte du confort. Tu pensais que ça lui ferait plaisir, de pouvoir resterici au chaud cette nuit, que tu ne l'attires pas une fois encore dans la forêt ou il n'est pas forcement à l'aise. Tu voulais vraiment lui faire plaisir, et pouvoir passer ce temps a ses cotés sans avoir peur qu'on ne te reconnaisse. Mais il est froid et distant, et là encore, tu ne sais pas comment tu dois réagir face à lui.

Quand on vous apporte le repas, tu attends tout de même que la personne reparte avant de te mettre à l'aise, retirant la cape que les elfes t'ont offert pour la poser près du feu. Tu approches pour prendre un morceau de viande à même les doigts mais voilà qu'il met un bras devant toi, te barrant le passage et bloquant ton action. « je vais goûter en premier… cela pourrait être empoisonné, princesse. Il ne faut plus mettre votre vie en danger comme avant. » Non mais les mercenaires n'ont jamais fait ça, ils n'ont jamais essayer la ruse ou le poison, toujours du face à face et en plus ils pensent que tu es morte donc tu n'as pas grand chose à craindre de cela. Tu roules des yeux, pensant qu'il en fait de trop, mais il semble reprendre son role de gardien auto-proclamé. « vous pouvez vous installer pour manger… » Tu secoues la tête en soupirant, prenant place finalement parce que malgré ce pain elfique, tu as faim. Il faut vraiment être un elfe pour être gavé avec ça.

Il est froid, distant, il ne t'accorde même pas un regard, dans ses yeux il n'y a plus cette douceur, cette tendresse. Est-ce que ses sentiments pour toi etaient faux ? Est-ce qu'il tente de te faire comprendre qu'il t'a oublier ? Non, ça serait ccontradictoire avec ses reactions avant de savoir que c'était toi. Tu ne comprends vraiment pas. « quand vous aurez fini votre repas, je demanderai que l’on fasse couler un bain pour vous… ensuite vous irez vous coucher pendant que je monterai la garde. » Comment ça ? Déjà tu veux pas de bain, tu veux juste etre avec lui, tu ne veux pas qu'il monte la garde, au contraire ça ne ferait qu'attirer l'attention sur vous en plus. Et puis, tu espèrais, au fin fond de ton coeur, qu'il passerait la nuit avec toi, que tu resterais dans ses bras. « vous préférez que je mange ailleurs, princesse ? » Tu soupires, mais d'agacement cette fois. Tu commences vraiment à en avoir marre de son comportement envers toi. Il est trop distant, trop froid, et tu ne supportes pas. Tu baisses les yeux, alors que tu reprends en tentant de rester calme. « vas-tu enfin arrêter. tu te venges parce que je suis partie ? d'accord, je suis désolée, mais je repartirais plus. alors s'il te plait, arrête de m'apeller ainsi, arrête de jouer les chevaliers ! »

Non mais tu ne supportes plus. Tu finis par repousser ton plan, te redressant alors que tu finis par faire les cent pas dans la pièce. Tu es en train de perdre patience, tu vas finir par t'énerver et ça risque de mal finir cette histoire alors tu reprends en grognant presque. « tu m'explique ce qui te prend ? c'est à peine si tu me regarde, tu es.. distant... je pensais... que toi et moi... je pensais.... » Mais tu n'arrives pas à finir ta phrase, tu n'arrives même pas à l'expliquer. Les larmes aux bords des yeux, tu te retiens un maximun alors que tu finis par approcher vers lui subitement. Tu lui fais face, redressant la tête sans peur. « dis moi ce qui a.. habituellement tu te gêne pas pour les sermons.»


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